Chasse et pêche
Quand les Européens arrivèrent pour la première fois, ils dépendaient
sur la technologie de chasse et de pêche des autochtones, qui était
ensuite transmit aux descendants des Métis. Des harpons, des arcs et des
flèches, et des pièges étaient les outils que les autochtones se
servaient pour tuer le gibier. Les outils de chasse et de guerre étaient
fabrique de la nature le bois, les pierres, les os et le tendon. Par
exemple, des marteaux de pierre avec une manche en bois étaient servis
pour tuer les animaux. Des pièges étaient tendus pour attraper des
petits gibiers comme le canard, l’oie, le lapin, le castor et la perdrix.
Contrairement à ce que tout le monde croie que les hommes autochtones
étaient les seuls chasseurs parmi les groupes autochtones, il y avait en
effet des femmes chasseurs. Tendre des pièges au petit gibier était
presque tout le temps le rôle de la femme. Des filets, des lignes, et
des harpons étaient servis pour la pêche. Dans les régions du nord, les
femmes étaient des pêcheuses extrêmement habiles. Elles tendaient les
filets, aussi bien que cuisinaient et préservaient leurs prises.
Charles McKenzie, qui était en charge d’un poste près du Lac Seul,
avait épousé Mary McKay, la fille de Nor’Wester William McKay et de
Josette LaTour, connue pour son assiduité. Charles écrivait à ses
enfants dans les années de 1850 à propos de la prouesse de chasse de
leur mère.
Votre mère….est toujours aussi active qu’une abeille. Elle doit
pratiquer ses exercices de chasses…Cet hiver-elle a piégé plus de 600
lapins - simplement pour leur remettre au gens - dont les femmes ne
tendent pas de piège.
Jusqu’à l’arrivée des Européens, les autochtones n’avaient pas des
outils en métal ou des dispositifs comme les trappes en acier. Quand les
trappes en acier furent introduites, les trappeurs Autochtones avaient
vite appris cette technologie. En particulier, les Iroquois libres se
servaient des trappes en acier d’une façon agressive et gagnaient une
réputation réussie auprès des compagnies de fourrures.
Les autochtones inventèrent diverses méthodes pour tuer les bisons.
Déguisé sous des cachettes des bisons, les chasseurs particuliers
pouvaient traquer en traînant, puis quand ils étaient tout près ils
pouvaient harponner et abattre l’animal. Comme on peut le voir sur la
peinture de Peter Rindisbacher ‘les chasseurs Indiens poursuivaient les
bisons pendant les premiers jours du printemps’ (1824 ou plus tôt.), les
autochtones portant des raquettes pouvaient poursuivre un bison qui
luttait. Les Assiniboine menaient des petits troupeaux de bisons dans
des enclos ou dans les fourrières. Ils accomplissaient cela en forçant
l’enjeu au milieu des arbres. .Piégé, les bisons pouvaient être abattus
à des distances très proches. Les Blackfoot pratiquèrent la ruée des
bisons, par centaines, par-dessus les falaises. Les coureurs de bison
auraient localisé un troupeau. Quelques membres de la bande, inclue des
femmes et des enfants forçaient le troupeau de bisons vers un saut en
criant et en créant des remous. D’autres membres de la bande attendaient
au bas pour achever les survivants.
De règle, les femmes autochtones étaient responsables de
l’écorchement, de la boucherie, de ramener les carcasses de grand gibier
au camp, et puis cuire le gibier tué. Les bisons fournissaient de la
viande, de la graisse, le cuir, le tendon et les peaux crues. Les peaux
étaient transformées en robes et étaient utilisées comme couvertures de
tipi. Les os des bisons étaient utilisés comme perçoirs et aiguilles.
La chasse aux bisons du printemps était l’événement économique et
sociale le plus important dans la vie des Métis à Red River. C’était une
aventure commerciale, entreprise et organisée avec une précision de
militaire. Et c’était une activité communautaire ou tout le monde
participait aux préparations pour le voyage de deux mois à Pembina au
Minnesota, ou la chasse commençait vraiment. Des centaines de familles
faisaient le voyage dans une parade bruyante, des chariots de Red River
brillamment décorés que les Métis avaient adapté pour d’affronter des
conditions ardus. La fierté de chaque chasseur était son cheval qui
étaient soigné avec attention et ornés de perles et des plumes.
In 1874, when Victoria Belcourt was 13-years old she went on an
Alberta Métis buffalo hunt with her mother and brother. Her dad stayed
home. Her memory of the hunt relays a strong communal feeling—of packing
everything they needed to set camp along the way to Red Deer, where the
last remaining buffalo could be found. Family and many friends joined
them along the journey. Once they got to the site, their method was to
run the buffalo down on horseback and shoot them. While there were still
gender defined roles among the Métis, such as the leader flying a flag
over his cart, Victoria interestingly recollected four men, not four
women, pounding the buffalo meat after it had been hung to dry. En 1874,
quand Victoria Belcourt avait 13 ans, elle partit à une chasse de bisons
des Métis d’Alberta avec sa mère et son frère. Son père resta à la
maison. Son souvenir de la chasse relayait un sentiment communal très
fort – l’emballage de toutes les choses qu’ils auraient besoin pour
monter le camp tout le long de la route jusqu’a Red Deer, là où les
derniers bisons qui restaient se trouvaient. .Leur famille et beaucoup
de camarades se joignaient à eux tout au long du voyage. Une fois
arrivés sur le lieu, leur méthode était de faire courir les bisons à
cheval et les abattre. Alors qu’ils y avaient toujours des rôles définis
parmi les Métis, comme le chef qui avait un drapeau au dessus de son
chariot, d’une façon intéressante, Victoria se rappelait de quatre
hommes, et non pas de quatre femmes, broyant la viande de bisons après
qu’il était suspendu pour sécher.
Il est important de noter que jusqu’à ce que les Espagnols eurent
introduit les chevaux en Amérique, les chiens étaient les seuls animaux
domestiques des Autochtones. Pendant des milliers d’années, les
Autochtones et les chiens avaient l’opportunité de développer une
liaison très proche. Comme décrit sur la peinture de Rindisbacher, les
chiens étaient utilisés pour la chasse. D’autres nombreux peintures et
photographies des Autochtones et des Métis avaient presque tous un chien
à côté d’eux. Les chiens ne sont pas seulement décrits comme chasseurs
et travailleurs, ils se tenaient souvent assis ou debout tout près de
leurs compagnons humains. Il y a aussi des peintures et des
photographies des chiens dans des demeures. Aucun doute que les chiens
protégeaient aussi leurs amis humains.
L’introduction des armes à feu et des chevaux dans les cultures et
les technologies des autochtones ont apporté beaucoup de changements aux
structures sociaux existantes. Les chasseurs et guerriers Métis seraient
influencés par la combinaison des technologies des autochtones et
européens. [Haut] [Retour] |
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