Heritage Community Foundation Presents
Alberta Online Encyclopedia
Les Métis dans l'Ouest du Canada: O-Tee-Paym-Soo-Wuk

  Accueil   |   Info   |   Nous Rejoindre   |   Partenaires   |   Plan du Site  

Les débutsLe peuple et leurs communautésCulture et mode de vie
Le guidage Guiding

Page 1 | 2 | 3

La troisième expédition de Franklin a été réalisée sur la mer. Lui-même ainsi que tout son équipage se sont perdus.

George Back a mené l’expédition suivante. Dans ses enregistrements de l’expédition 1833 – 35 qu’il a commandé, il a offert une liste des personnes embauchées pour l’accompagner. Elles comprenaient James McKay et George Sinclair comme hommes de barre6. Pour cette expédition, James McKay était son premier volontaire de la maison Norway House7. Il a souvent référé aux services de James McKay, (qu’il avait listé comme un montagnard) son énergie, ses habiletés et sons sens du défi ont sauvé le voyage à plusieurs reprises. En guise de remerciement pour ses services et parce qu’il s’est porté volontaire pour l’escalader, Back a donné son nom à une montagne8 .

L’expédition suivante était menée par Peter Warren Dease et Thomas Simpson, 1836 – 1839. Dease était de la deuxième expédition de Franklin. Thomas Simpson ressemblait beaucoup à son cousin, Sir George Simpson. Ils désiraient plus que tout compléter le mappage de la côte et Thomas Simpson semble avoir été constant dans son application. Ils opéraient sous des instructions très particulières, basées sur des expéditions antérieures, ce qui réduisait leur risque. Ils devaient mapper des portions spécifiques de la côte de l’Arctique. Alors que Thomas Simpson était entraîné comme géomètre et menait les explorations, Dease était l’homme de fond, organisant les livraisons, gérant la base et prenant des milliers de lectures météorologiques. La liste de l’équipage qu’ils ont amenée avec eux pour les explorations côtières, comprenaient les personnes suivantes : James McKay, homme de barre, George Sinclair, homme de barre, tous deux avaient fait partie de l’équipage de Back, ainsi que Francois Felix, qui était avec Franklin en 1826. Tous nommés, ça comprenait cinq Métis9. James McKay était désigné comme le montagnard tout comme John McKay, son frère. Dease, avec son expérience du commerce des fourrures, aurait certainement su quels employés avait la résistance et la vigueur nécessaires.

L’expédition par voie de terre suivante, 1846-1847, était menée par le Dr. John Rae, un Orcadien qui avait travaillé comme physicien pour la HBC à la manufacture Moose à la Baie James pendant une décennie. Sir George Simpson avait spécifiquement demandé Rae afin de tracer les banlieues du Nord des détroits de Fury et Hecla." Rae avait été choisi parce que sa propre vigueur était combinée à des habiletés apprises volontairement sur les méthodes de survie indigènes. Il était connu comme le meilleur raquetteur de son temps et ses séries d’expéditions étaient reconnues pour dépendre de la chasse pour des provisions, transportant très peu de matériel et voyageant à pied.

Lors de cette première expédition, il amena deux hommes de la manufacture Moose avec lui, John Corrigal et Richard Turner. Il prit cinq hommes de plus à la maison « Norway ». Son premier équipage comprenait quatre compagnons orcadiens, deux Canadiens-Français, un Métis (Turner) et un Cri, Nibitabo le chasseur. Il ajouta deux chasseurs Inuits, Ouligbuck et William Ouligbuck, son fils, son nom Inuit était Mar-ko10 .

Son biographe écrivit :

« Sur la terre de Rupert, Rae préférait la compagnie de partenaires de chasse Cris et Inuits et des demi-sang Écossais aux membres plus hautains de la constitution blanche. Rae a lui-même pris la peine de clarifier sa terminologie :
« J’utilise le terme demi-sang ». Je veux dire ceux qui ont du sang indien dans leurs veines, à plus ou moins haut degré, et ceci n’est pas dit en terme de reproche car ils sont une race très bien, active, beau, intelligent… Je réfère surtout aux demi-sang Anglais et Écossais, que je connais mieux et qui pour voyager… et à des compagnons de tir et de pêche je préférerais à plusieurs hommes que je connais. »11

Il a mené la deuxième expédition en 1848 avec Sir John Richardson qui était avec Franklin sur sa seconde expédition. Ils ont été amenés à l’intérieur, à la Cumberland House, dans deux canots, conduits chacun par huit voyageurs. Là, ils ont rattrapé le chef commerçant Bell et vingt hommes de service britanniques qui étaient passés par la manufacture York. Ils devaient les accompagner sur leur expédition de recherche. Rae était très désappointé de la performance de ces hommes de service. Ils n’étaient pas endurcis à la vie du Nord ou pour la quantité de marche à pied qu’on attendait d’eux. À un moment donné, Rae était tellement ennuyé qu’il recourut à leur faire honte. Voyant de « grands hommes forts » ne porter que quelques paires de rames en portage, il dit qu’il leur faisait honte occasionnellement en portant toutes les rames, le mât et les pôles du bateau, tous ensemble. Il découvrit qu’éventuellement, la peur de geler ou d’être enseveli de neige les motivaient à travailler avec énergie.12

[Haut] [Retour]

Liens Rapides

Les hommes des Compagnies

Les femmes du pays/les femmes d’été

Guidage

Heritage Community Foundation The Alberta Online Encyclopedia The Alberta Lottery Fund

Albertasource.ca | Contact Us | Partnerships
            For more on Métis Alberta, visit Peel’s Prairie Provinces.
Copyright © Heritage Community Foundation All Rights Reserved